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  • Réac, atrabilaire, mais non sans expérience le justifiant. Sens de l'humour permanent, mais hélas sens de la réalité qui s'échappe de jour en jour. Par contre, même houleux, j'aime bien les échanges de point de vue. Et sur tous les sujets.
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 18:07

Troubadours auvergnats

 

Astorg VII d'Aurillac ou Austau d’Orlhac ou Astorg VII d'Orlhac

Troubadour cantalien né vers 1225 au Château de Conros (Arpajon sur Cère), mort avant 1260, et nous ayant laissé un unique sirventès traduit par MM Fabre et Jeanroy.

Fils d’Astorg VI d’Aurillac et de Marguerite de Malemort.

Armé chevalier en 1267 par le roi Saint-Louis, il partira en croisade avec ce dernier en 1270 ; ceci après avoir vendu à son frère, Durand de Montal, seigneur de Laroquebrou, tout ce qu’il tenait sur les paroisses de Saint Géron, Ayrens, Crandelles, Viescamp, Saint Etienne, Omps et Ytrac.

En 1274, il entra en guerre contre le comte du Rouergue qui revendiquait son hommage sur son fief de Carlat.

Vers 1265, il avait épousé Galienne de Malemort, fille de Géraud III, seigneur de Donzenac.

(Un doute subsiste quant à l'auteur de ce sirventès qui pourrait être attribué à Astorg VI d'Orlac, son père)

Austau ou Austroc de Segret ou Astorg de Segret

Troubadour cantalien originaire du Vaulmier (château de Segret, dominant Saint Vincent de Salers), et nous ayant laissé qu’un sirventès (1273) traduit par M. Fabre.

 Bernard Amouroux ou Bernart Amoros

Poète ou écrivain cantalien natif de Saint Flour de Planèze

 Na della de Casteldhoza ou de Castel d’oze , dite la dame de Castelloza

Trobairitz cantalienne née vers 1200 probablement à Sénezergues, dans le cardalès.

Elle épousa Turc de Meyronne, mais ce fut à son amant , Arman de Bréon, seigneur de Mardogne qu’elle adressait ses lettres.

De cela, il nous reste trois odes :   

Amies, s’ie.us trobes avinen

Ja de chantar non degr'aver talen

Mout avetz faich long estatge

,et une chanson

 Cavaire

Troubadour cantalien de la fin du XIII è siècle (vers 1225-1250) . Il nous a laissé 2 tensons

 Dalfi d'Alvernha, alias Robert Ier Dauphin,  troubadour connu en Occitanie sous le nom d'el bons Dalfins d'Alvernhe.

Troubadour, comte de Clermont et de Montferrand, né en 1150, et mort vers 1234.

Il était le fils de Guillaume VII le jeune, comte de Clermont et de Jeanne de Calabre. Il épousa Guillemette de Camborn, comtesse de Montferrans et fille d’Archambaud , vicomte Camborn. Il échangea ses vers avec beaucoup de jongleurs de son temps ainsi qu’avec le roi Richard cœur de Lion.

Eble de Saignes  

Troubadour cantalien.

Faydit de Bellestat 

Troubadour cantalien des XII et XIII è siècles, auteur d’une tenson..

 Gauseran de Saint Leidier ou Gauceran de Saint Didier ou Jausserand de Saint Didier

Troubadour, châtelain de Saint Didier la Séauve, il était le petit-fils de Guilhem de Saint Leidier.

Deux de ses cansos nous sont parvenus, traduisant son amour qu’il portait à Béatrice, l’épouse de Guigues VI de Viennois.

 

 Guillaume Borzatz ou Guilhem de Borzach d’Aurillac

 

Guilhem Moysset ou Guillaume Moisset de La Moissétie ou Guilhem Moyses

 

 Guilhem de Saint Didier

Seigneur de Saint Didier, chevalier et troubadour né en 1122, et mort en 1195 à la cour de son ami, le roi Alphonse II d'Aragon.

Sorti de l'université de Saint Mayol, il écrivit un traité d'escrime ainsi que sa clef des songes. Traducteur d'Esope, son égérie "la marquisa" fut l'épouse du vicomte de Polignac.

Johanet d'Albusson ou Johan d'Aubusson

Troubadour du XIII è siècle très certainement d'origine auvergnate. 

Séjournant à la cour de Frédéric de Souabe, il écrivit des chansons sur les guerres que menait ce prince contre les lombards. Il écrivit également en collaboration avec Sordello de Goito et Nocoletto de Turin.

Garin le brun, châtelain du Velay

Troubadour originaire de Gévaudan, mort vers 1156.

Il est le fils de Guérin, seigneur de Randon.

Auteur de tensos et de son ensenhamen.

 

Peire ou Pierre de Vic, di lo  Monge de Montaudon ou le moine de Montaudon

Seigneur, troubadour et bénédictin, moine de l’abbaye d’Aurillac, prieur de Montaudon et de Villefranche, né à Vic sur Cère au XII è siècle (vers 1155) . Il fut nommé maître de la société poétique de Sainta Maria au Puy en Velay, puis il trouva la mort au prieuré de Saint Pierre de Belloc, en Roussillon. Il mourut vers 1220.

Il nous a laissé 7 chansons, 1 sirventès, 4 tensons, 1 plazer, 1 cobla, 4 enuegs + deux œuvres d’origine douteuse.

 Peire d'Alvernhe

 

Chanoine, puis troubadour né vers 1130, et mort vers 1190. Imitateur de Marcabru, il fréquenta les cours de Raimond Bérenger IV de Barcelone et de anche III de Castille. Il nous a laissé 20 poèmes ambigus.

 Peire de Cols ou Pierre de Cère de Cols d’Aorlac

Troubadour cantalien du XIII è siècle nous ayant laissé un chanson.

Il nous a laissé qu’une chanson.

Hugues de Peyrols

Troubadour mort vers 1240.

 Peire de Maensac  ou Pierre de Manzat

Chevalier, troubadour du début du XIII è siècle.

Il écrivit en dédian ses poèmes à la femme de Bernart de Tierci avec laquelle il s’enfuit au château de Delfi d’Alvernha.

Il est l’auteur de cansos et de coblas.

 

 Peire Rogier ou Pierre de Rogier

Troubadour, jongleur, moine de l’abbaye de Grammont né vers 1145, et mort près de Lodève après 1197.

Il était fils du seigneur de Rouziers. Il fut chanoine de Clermont avant d’exercer son art à Narbonne, à la cour de Dame Ermengarde. Ensuite, il se réfugia auprès de Raimbaud d’Orange, avant de se rendre à la cour de Raymond V de Toulouse en 1173.

Enfin, il prit l’habit religieux en 1194, après avoir séjourné quelques temps au sein des cours d’Espagne.

De lui, huit chansons sont conservées, et un sirventès

 Pons de Capduelh ou Pons de Chapteuil

Troubadour du début du XIII è siècle.

Il participa à la 5è croisade, et mourut en Terre Sainte après la prise de Jérusalem.

 

  

 Uc la Tor ou Hugues de Manzat

(troubadour n'ayant peut-être jamais existé)

 

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