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  • Laurent
  • Réac, atrabilaire, mais non sans expérience le justifiant. Sens de l'humour permanent, mais hélas sens de la réalité qui s'échappe de jour en jour. Par contre, même houleux, j'aime bien les échanges de point de vue. Et sur tous les sujets.
  • Réac, atrabilaire, mais non sans expérience le justifiant. Sens de l'humour permanent, mais hélas sens de la réalité qui s'échappe de jour en jour. Par contre, même houleux, j'aime bien les échanges de point de vue. Et sur tous les sujets.

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27 juillet 2008 7 27 /07 /juillet /2008 08:13

De la guerre dont toute victoire ne peut faire naître que l’essaim de nouveaux ennemis.

Dans toutes les luttes, que le bien agisse avec la caution du ciel ne lui procure hélas aucun réel avantage.
(Sileine d’Ambéra)

                         -Tout bon chat a toujours des griffes.

Qui, étranger au conflit, souhaite achever une guerre, immanquablement en déclare une autre.

                    - La mue de la vipère n’en fait pas une oie.

En tant que tel, l’ennemi reste fiable.

                      - Qui ne bande enseigne n’évite guerre.

Le conflit demeure inévitable, dès lors que les ânes s’adressent aux bœufs.
                                                                            (Tréphaïs : chant VI)

                        - Qui voisine la ruche ne fait pas l’autruche.

Certes, la gloire apporte l’espoir, mais aucune effigie ne donne de fruit.

Quelque soit la nature de ton ennemi, s'il est derrière toi, c'est déjà qu'il est plus fort que toi.
                                                                                (L'envers)

Quand l’ennemi pointe à l’aube, l’ami est encore aux draps.

S’engager dans la politique, quel qu’en soit le sens de nos convictions, c’est immanquablement devenir responsable de la prochaine guerre, voire d’un futur garanti génocide.

Un mal n’est jamais vaincu par un bien ; c’est un autre mal qui en triomphera !


Fort mal advient à celui qui croit avoir tué le sanglier hors qu’il n’est que blessé…

                                                                                     (Le prince noir)

 

 

La fin d’une bataille n’est pas celle d’une guerre.

 

                                                                      (Le prince noir)

 


Organiser une guerre, c’est se débarrasser d’un maximum de pauvres encombrants en leur faisant croire qu’ils se rendent au combat pour devenir riche.

 

 

  Nul dieu ne participe aux conflits.

 

Devenu docile, l’hargneux triche.

 

Si les conflits n’ont de cesse à se multiplier, c’est que les torts sont toujours de part et d’autre desdits conflits.



Laurent Lafargeas.
Proverbes et citations

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 13:53
De la fourchette… ; en résumé, l’accessoire le plus utile !

                     - Jamais repas de loup ne manque de goût.

                     - L’affamé se passe de sel.

                    -  Maigrir, c’est mourir un peu.
                                              (Monsieur Krest)

Plus prompte est de l’homme sa religion quand elle se suit de digestion.    
                                                                                (Monsieur Krest)

L’obésité compense son inesthétique par son plaisir à gêner l’autre.

Laurent Lafargeas.

Proverbes et citations.
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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 09:36

 

Du travail : notre action la plus noble et la plus convoitée.


La tâche se révèle, dans sa majorité, plus une obligation qu’un plaisir. Alors, gloire à celui dont la combinaison spirituelle sortirait de cette tâche l’alchimie d’un art.
Et, s’il n’obtient aucun réel fruit de sa peine, dans l’au-delà, et même bien avant cela, il pourra néanmoins jouir de mon estime, car elle lui est déjà vouée.

-   Le mieux parler du balai, c’est de l’avoir en mains.

-   Nulle maie pleine sans peine.

                         - Non de sagesse à table de paresse.

Il reste plus complexe et ennuyeux d’entreprendre des réparations sur un ouvrage défectueux à la base que de s’affairer corps et âme vers une nouvelle tâche.
(L’aigle du Mont Paléria)

 
                           - Hors d’atelier, à la scie, prompte est la rouille.

Paresse est à la fois sœur et mère de l’ennui. À quoi bon s’émouvoir de ce constat ?..., elle en serait l’épouse que toujours il y aurait inceste.

Ordonner et s’absenter, c’est vouloir gagner sans jouer.

En général, les actes de l’homme lui sucent 140% de son réservoir physique. C’est un abus de compétence, nous en conviendrons, mais qui doit-on accuser de cet esclavage, si ce n’est l’âme dont il fut doté, paraît-il ? 

  - Celui qui sue doit avoir reçu.

                                          - Nul directeur n’arrête le temps.


Jamais la dominante paresse d'âme ou paresse d'autre chose n'acceptera la richesse de l'autre, quand bien même ce dernier en serait reconnu méritant. Jamais elle n'appointera de son humble gratitude le concitoyen motivé de l'assortiment des intérêts que lui
renvoie - légitimes - ses efforts.
                                                                                  (Le messidor de Fompeyre)


                          - Jamais de miel à table d’abeille.

L’ennui n’est certes pas la perspective à laquelle on échappe.
Les travaux pléthoriques, tout autant que les festoiements abusifs, nous conduisent à cette même triste convention, prouvée scientifiquement inévitable.

                         - Aise à dire est plus âpre à faire.


Convertis génétiquement étranger à l’effort, les hommes d’aujourd’hui ne respectent plus le travail de certains, aussi se guident parfois à jalouser et convoiter le bien d’autrui. Le progrès, c’est une évolution matérielle, somme toute, mais je ne pense pas qu’il engendre directement une bonification de l’esprit. Peu à peu, le confort remplace le sens pratique, tandis que le bien-être ne se stabilise qu’en marge du conditionnement dont il est néanmoins assujetti… Même les pauvres on ne les reconnaît plus !
                                                                                         (L’aigle du Mont Paléria)

L’ambition est une fièvre qui ne trouve guérison.

 

 

 Dieu est créateur, non réparateur.

 

Incompétence et sur compétence sont toutes deux mères d’inertie.

 

La motivation est comme le cristal, elle se brise au moindre choc.

 



Laurent Lafargeas.
(Proverbes et citations.)

 

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 09:07

 

 

De l’ivresse et de sa fortune injustement sous-estimée.

Le premier verre ne reste que l’aîné d’une grande famille ; il n’est pas obligatoirement meilleur que ses cadets. Disons que lorsque l’ivresse regarde son terme, elle devient tout, sauf un plaisir.

             - Toute contrainte mérite une pinte.

Qu’importe que tous me vouent de la haine ; le vin en demeure incapable.

             - À  barrique tarie, cœur meurtri…

Certes, l’alcool amoindrit, mais le moins n’est pas que chagrin !

- Manger reste une faculté ; boire est un savoir.                                
                                       (Monsieur Krest)
 

                 - Digne ivresse n’épouse trop peu.
                                                 (Ethylismologie)

L'absorption d'alcool est certes une nuisance en bon nombre d'endroits, mais l'absorption abusive d'alcool  présente le fort avantage d'anéantir le narcissisime : mal plus adipeux, à mon humble avis !



- À  verre vide, spleen rapide.
                              (Monsieur Krest)

- Quand l’eau nettoie, le vin fait joie.
                                 (Monsieur Krest)

 - À  détresse, nul remède que l’ivresse.
 (à détresse, nul autre remède ne saurait copier l’ivresse)

- Rien n’est plus laid que vide gobelet.

- À perte de coquette, boire mille fillettes.

- À  demi pinte, double plainte.

Autant les gens qui boivent de trop sont d’horripilantes devises, autant ceux qui jamais ne boivent sont d’une insipidité à faire vomir.

 

 

- Quand boit le père, fume le fils.

 


Laurent Lafargeas.
(Proverbes et citations)

 

 

 

 

 

 


 

 

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 08:58

De l’entêtement et du temps qu’il fait perdre.

 

Celui, abusivement convaincu de lui-même, de tous les bien-fondés investis du temps qu’il a sacrifié (de sa ferveur, autant qu’il en estime protection, qu’il en prépare offensive), reste sourd à toutes propositions de recul ; voire même à celle d’une simple analyse de son cas.

 

-       Le conseil est poivre au met du borné.

 

Le talon d’Achille de la puissance, c’est d’espérer sa durée.

 

-       Si grande soit l’oreille de l’âne, que sa nature en filtre mieux les sons.

 

-       Trop convaincu n’est jamais déçu.

 

-       À  têtu, aise est d’obtenir reçu ; moins apte en serait-il de la vertu…

 

-       Âne soumis est œuvre éphémère.

 

-       Puisque sans calcul, le borné ne peut donc nuire !

 

 

  • Le fat est l’acide de la gloire.

 

  • Les idioties forment le delta de la paresse.

 

  • L’idiot ne l’est que par sa volonté.

 

  • Même stupide, l’idée partagée se passe d’étai.

Laurent Lafargeas

(Proverbes et citations)

 

 

 

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 08:50
   
                                                                                                                                            François Boucher


Parle-moi des points de ton corps, où mon désir y trouvera fin.
Parle-moi du secret de tes courbes, et comment puis-je atteindre tes reins.
Parle-moi de tes endroits d’où mon désir comblera sa faim.
Aussi, de quand je boirais l’eau de ton bain, le miel de ton sein ;
de quand, je serais ton amant, pour un temps ton gardien.

Laurent Lafargeas.

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 08:43
CORRESPONDANCE II
L'amour c'est avant tout ne jouer qu'un seul jeu à la fois ; c'est miser ou s'investir sur une seule table. Cela avec aucune tricherie, aucune facétie, aussi avec la plus grande sincérité envers son partenaire.
D'ailleurs là, il n'existe aucune martingale imaginable, du moins pas une qui aurait la prétention ni même le pouvoir de transformer ou d'apporter une quelconque influence au déroulement des enjeux.
L'amour c'est une abnégation totale, c'est un sacerdoce, c'est ici beaucoup plus qu'une vocation. Cela débute par un éblouissement bilatéral puis cela se perdure, s'éternise par de l'exclusivité au quotidien, par l'abandon de soi parfois, par de l'esclavage quelquefois.
C'est du renoncement mêlé à de la confiance à l'état pur.
L'amour, ce n'est pas une quête, l'amour veux dire : nous avons trouvé !...
 Par contre, à ne pas s'y méprendre, ce n'est pas une victoire acquise. C'est l'art de savoir vivre avec la difficulté que l'on affectionne le plus. Pour moi, mon amour, mon génie serait d'atteindre la perfection de notre alliance en lui évitant le divorce.

Laurent Lafargeas.

(Prière 48-21)

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 12:39

De l’harmonie sociale comme la plus vile des utopies.

 

La vraie nature de l’homme est celle qui le conduit en quête et en défense de son aisance, ainsi que de son bien personnel. Cette nature lui impose donc une exclusivité qui ne saurait trouver de paix en la gestion du partage.

De cela, nous devons observer l’hégémonie collective comme source de conflits autant que raboteuse d’efficiences.

 

-       Mule commune est mal nourrie.

 

La répartition des biens demeure le génocide absolu des compétences.

 

-       Qui subit mal aisance reste inapte à la bienveillance.

 

Le principe d’une république, celui d’une réelle démocratie

Même - pour peu qu’un prototype du genre eût déjà existé - ne peut qu’élargir la sphère des candidats aux moyens de nuire.

(Le messidor de Fompeyre)

 

 

-       Trop maigre reste le fruit du labeur commun.

 

La notion de partage et le culte du proportionnel naissent que dans l’âme de celui qui n’a rien. Pour celui-ci, comme un loup affamé, seule l’appétence le guide.

 

-       Nul travail n’est œuvre en dehors de son bien.

 

Le social, c’est de faire de celui qui œuvre, qui gagne en décente contrepartie, et qui même donne du travail aux autres (à ses risques), le payeur de ses deniers de plus en plus durement acquis, voire de sa liberté quelquefois ; ceci pour qu’une multitude d’inconnus survivent dans l’intelligence de ne rien faire…

(L’aigle du Mont Paléria)

 

Formule simplifiée : Le social, c’est de faire de  celui qui travaille, celui qui paie afin qu’une multitude d’inconnus survivent dans l’intelligence de ne rien faire.

 

 

Ce n'est peut-être pas le but de nos dirigeants, mais cela en est bel et bien le résultat : bon nombre de nos éleveurs et cultivateurs se retrouvent en liquidation judiciaire ou se suicident, tandis que le pays alimente des hordes d'étrangers n'ayant absolument aucun respect de nos traditions. Encore moins de notre travail. Une guerre civile devient alors inévitable. Et puis, des bien-pensants disent pourtant : "plus jamais ça".

 

 

En exécutant un monarque, on multiplie les despotes !

(Le messidor de Fompeyre)

 

 

-       Plus ronde est ta bourse, plus longue sera ta guerre.

 

La république demeure l’une des mille utopies de la gestion humaine, cependant qu’elle en dramatise les bases de sa multitude d’intervenants.

   (Le messidor de Fompeyre)

 

Et voici où disparaît la fortune de l’individu - le fruit de ses

aptitudes : la république !…

Dès l’instant où la gestion d’une société tente de s’organiser en dehors d’une suprématie de caractère humain, elle se retrouve indubitablement dans un labyrinthe de convenances permutables, et dont l’issue ne peut être que la révocation totale.

                                                                                                   (Le prince noir)

 

 

Bien sûr que la plupart de nos dirigeants préconisent le social ; 

ce qui leur permet, d’une part, de faire croire à la généralité que leurs desseins n’ont qu’une vocation humanitaire - une bonne conscience en résumé - et, d’autre part, que ceux qui travaillent vraiment forment une entité spéculatrice faisant obstacle à la dite évolution sociale.

(L’aigle du Mont Paléria)

 

Les échecs de la république, plus ou moins désastreux mais jamais sans conséquence, céderont toujours la place aux nouvelles idéologies auxquelles elles auront permis l’émergence, mais qui se présenteront déjà obsolètes avant même leurs applications.

                                                                                                           (Le prince noir)

 

 

Une société de consommation, une société qui ne reconnaît plus l’effort, bref, le pire, une société qui ne veut pas réduire son gaspis, ne peut qu’envisager des palliatifs en parfait contre-sens aux urgences qu’elle devrait pourtant considérer.

         (L’aigle du Mont Paléria)

 

 

La démocratie demeure une évolution humanitaire, somme toute, mais rien de plus, et jamais une utopie susceptible de se réaliser pleinement un jour ou l’autre. C’est un leurre, et épions-le comme tel…

 

(Les actualités d’Albert Keyan ; 21 septembre 2006)

 

 En république, les intervenants à la raison d’État sont multipliés. De ce fait, constituant alors une minorité, les maillons productifs doivent davantage en supporter les frais, d’autant que cette république invente pire encore : le social.

 

Peu de S.A.V. au fruit du travail partagé. (Au fruit du travail non partagé, peu de S.A.V.)

 

Les grandes idées, toujours s’étayent sur la bourse des autres.

 

En France, moindre mal est que la fonction publique s’accrue puisque l’ambition a quitté le pays.

 

La république, c’est une fourmilière qui a supprimé sa reine. Le désordre est tel que, de toutes parts, fusent les répressions.

 

Laurent Lafargeas

(Proverbes et citations)

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 11:19
                                                     



En toi, l'édifice de mon prestige a trouvé sa rivale.
Avec toi, la quête de l'impossible s'est d'elle-même paralysée.
Elle devient une pâle icône d'avilissement dont seul encense mon
passé, plus qu'à présent saugrenu.
Parlons ici davantage d'une probation qui s'achève ; voyons-la morte, lapidée de notre rencontre...
De toi, l'almée de ma nouvelle cour, cet espoir inédit conférant ma sauvegarde, cet exquis féminin désormais mon culte de vie : l'office de mes nuits dont les rêves s'irradient de toutes aménités.
Alors, impétueux, mal apprêté, situé aux rives de la pâmoison, c'est ma patience qui s'évapore, et plus rien n'est de force à m'interdire de te dire : je t'aime !

Laurent Lafargeas.
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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 16:29
Maintenant, à quoi bon se fâcher sur ces Etats brigands enchevêtrant au plus absurde le piège « évolutif » dont il prône la conception internationalement dominante, et ceci bien au-delà de toutes nos réactions estimées primaires ?
Le monde souffre !... Et il semblerait que ce soit de notre faute !
Encore que ce monde aurait-il, lui, la compétence de panser mes plaies ?
Il n’en a certes que faire, et pour moi seul, il demeure alors indispensable que je m’octroi ma part d’aisance, aussi faible soit-elle, dans ce monde n’ayant toujours pu s’émanciper de la souffrance qui constamment le guette et  me guette.
Me serait-il commandé de laisser ma place à d’autres ; à de plus méritant pour lesquels  me serait-il également  enjoint que je me conduise moi-même dans un camp d’extermination, comme il y en eut jadis,  et dont, sans trop forcer, il serait aisé de retrouver les portes complètement ouvertes ?...
Vomir est le verbe qui me viendrait à l’esprit en ce constat s’il ne me restait pas une part d’amour à l’égard de mon « moi ».
À présent, disons qu’il nous est assurément commandé de ne plus entretenir d’exigences nationales ; ni plus de méritant confort dont notre passé eût pourtant bien du mal à rendre légitime.
Enfin, notons que « légitime » n’est certes pas un mot qui jamais ne su s’accompagner de « régression » : un autre mot, pour l’heure, de toute actualité.


Laurent Lafargeas.
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