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  • Réac, atrabilaire, mais non sans expérience le justifiant. Sens de l'humour permanent, mais hélas sens de la réalité qui s'échappe de jour en jour. Par contre, même houleux, j'aime bien les échanges de point de vue. Et sur tous les sujets.
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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 12:39

De l’harmonie sociale comme la plus vile des utopies.

 

La vraie nature de l’homme est celle qui le conduit en quête et en défense de son aisance, ainsi que de son bien personnel. Cette nature lui impose donc une exclusivité qui ne saurait trouver de paix en la gestion du partage.

De cela, nous devons observer l’hégémonie collective comme source de conflits autant que raboteuse d’efficiences.

 

-       Mule commune est mal nourrie.

 

La répartition des biens demeure le génocide absolu des compétences.

 

-       Qui subit mal aisance reste inapte à la bienveillance.

 

Le principe d’une république, celui d’une réelle démocratie

Même - pour peu qu’un prototype du genre eût déjà existé - ne peut qu’élargir la sphère des candidats aux moyens de nuire.

(Le messidor de Fompeyre)

 

 

-       Trop maigre reste le fruit du labeur commun.

 

La notion de partage et le culte du proportionnel naissent que dans l’âme de celui qui n’a rien. Pour celui-ci, comme un loup affamé, seule l’appétence le guide.

 

-       Nul travail n’est œuvre en dehors de son bien.

 

Le social, c’est de faire de celui qui œuvre, qui gagne en décente contrepartie, et qui même donne du travail aux autres (à ses risques), le payeur de ses deniers de plus en plus durement acquis, voire de sa liberté quelquefois ; ceci pour qu’une multitude d’inconnus survivent dans l’intelligence de ne rien faire…

(L’aigle du Mont Paléria)

 

Formule simplifiée : Le social, c’est de faire de  celui qui travaille, celui qui paie afin qu’une multitude d’inconnus survivent dans l’intelligence de ne rien faire.

 

 

Ce n'est peut-être pas le but de nos dirigeants, mais cela en est bel et bien le résultat : bon nombre de nos éleveurs et cultivateurs se retrouvent en liquidation judiciaire ou se suicident, tandis que le pays alimente des hordes d'étrangers n'ayant absolument aucun respect de nos traditions. Encore moins de notre travail. Une guerre civile devient alors inévitable. Et puis, des bien-pensants disent pourtant : "plus jamais ça".

 

 

En exécutant un monarque, on multiplie les despotes !

(Le messidor de Fompeyre)

 

 

-       Plus ronde est ta bourse, plus longue sera ta guerre.

 

La république demeure l’une des mille utopies de la gestion humaine, cependant qu’elle en dramatise les bases de sa multitude d’intervenants.

   (Le messidor de Fompeyre)

 

Et voici où disparaît la fortune de l’individu - le fruit de ses

aptitudes : la république !…

Dès l’instant où la gestion d’une société tente de s’organiser en dehors d’une suprématie de caractère humain, elle se retrouve indubitablement dans un labyrinthe de convenances permutables, et dont l’issue ne peut être que la révocation totale.

                                                                                                   (Le prince noir)

 

 

Bien sûr que la plupart de nos dirigeants préconisent le social ; 

ce qui leur permet, d’une part, de faire croire à la généralité que leurs desseins n’ont qu’une vocation humanitaire - une bonne conscience en résumé - et, d’autre part, que ceux qui travaillent vraiment forment une entité spéculatrice faisant obstacle à la dite évolution sociale.

(L’aigle du Mont Paléria)

 

Les échecs de la république, plus ou moins désastreux mais jamais sans conséquence, céderont toujours la place aux nouvelles idéologies auxquelles elles auront permis l’émergence, mais qui se présenteront déjà obsolètes avant même leurs applications.

                                                                                                           (Le prince noir)

 

 

Une société de consommation, une société qui ne reconnaît plus l’effort, bref, le pire, une société qui ne veut pas réduire son gaspis, ne peut qu’envisager des palliatifs en parfait contre-sens aux urgences qu’elle devrait pourtant considérer.

         (L’aigle du Mont Paléria)

 

 

La démocratie demeure une évolution humanitaire, somme toute, mais rien de plus, et jamais une utopie susceptible de se réaliser pleinement un jour ou l’autre. C’est un leurre, et épions-le comme tel…

 

(Les actualités d’Albert Keyan ; 21 septembre 2006)

 

 En république, les intervenants à la raison d’État sont multipliés. De ce fait, constituant alors une minorité, les maillons productifs doivent davantage en supporter les frais, d’autant que cette république invente pire encore : le social.

 

Peu de S.A.V. au fruit du travail partagé. (Au fruit du travail non partagé, peu de S.A.V.)

 

Les grandes idées, toujours s’étayent sur la bourse des autres.

 

En France, moindre mal est que la fonction publique s’accrue puisque l’ambition a quitté le pays.

 

La république, c’est une fourmilière qui a supprimé sa reine. Le désordre est tel que, de toutes parts, fusent les répressions.

 

Laurent Lafargeas

(Proverbes et citations)

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

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