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  • Laurent
  • Réac, atrabilaire, mais non sans expérience le justifiant. Sens de l'humour permanent, mais hélas sens de la réalité qui s'échappe de jour en jour. Par contre, même houleux, j'aime bien les échanges de point de vue. Et sur tous les sujets.
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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 00:57

Louis Henry, marquis de La Roche-Saint-André

 

Né le 1er octobre 1753 à Fresnay-en-  Retz, et mort en 1794 à Nantes.

Il entra dans la marine en 1770 avant de devenir lieutenant de vaisseau en 1781.

Fait chevalier de l’ordre de Saint-Louis en 1786.

 

Dès les premiers soulèvements vendéens de mars 1793, il devient, contre sa volonté, l’un des chefs insurgés, puis de l’Armée catholique et royale, mais subit une cuisante défaite à Pornic. Arrêté en 1794 à La Garnache, il sera guillotiné par les républicains de Nantes.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 08:51

Louis François Charles Ripault de La Cathelinière

 

 

Né le 19 août 1768 à Frossay, et mort le 2 mars 1794 à Nantes

Officier vendéen,  il participe à la bataille de Pornic, le 27 mars 1793, puis le 22 avril 1793, à celle de Machecoule. Le  12 mai, ill s’empare de Port-Saint-Père .  Il était alors théoriquement sous les ordres de Charrette de La Contrie, mais, en marge, il se proclama général de l’armée catholique et royale du Pays de Retz.

 

En 1794, il subit une cuisante défaite à Princé, face aux troupes du général Haxo. Blessé au combat, il fut capturé à son domicile, le 28 février, et conduit à Nantes, où il sera guillotiné le 2 mars.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 07:31

Jean Perdriau

 

Né le 3 décembre 1746 à Beaulieu-sur-Layon, et mort le 11 avril 1793 à Chemillé.

Fils de Jacques Perdriau et de Renée Marcais, il épousa Anne Marie Moisseau, le 11 janvier 1782.

 

Caporal de régiment dans l’armée royale, puis voiturier vendéen. En mars 1793, il est l'un des premiers à commander les paysans insurgés de sa paroisse, et, après les avoir formé aux armes, il les conduisit à  l’attaque de Jallais qu’il enleva avec son ami Cathelineau, le 14 mars 1793. Hélas, il trouva la mort peu après, le 11 avril de la même année, lors des combats de Chemillé.

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:43

Charles Melchior Artus de Bonchamps

 

 

Né le 10 mai 1760 à Juvardeil, et mort à Varades, le 18 octobre 1793.

Fils de Charles Louis Artus, marquis de Bonchamps.

Commandant des armées vendéennes.

Ayant servit dans les troupes du roi aux Indes et dans la guerre d’Amérique, il quitta son poste de capitaine du régiment d’Aquitaine dès les premiers mouvements de la révolution française.

En mars 1793, des insurgés vendéens viennent le chercher dans son château de La Baronnière pour lui demander de prendre le commandement de leur insurrection. Il ne voulait rien entendre, estimant alors que leur prise d'armes relevait de la folie, et, avant d'optempérer, il fut enlevé brutalement. 

Avec Gigost d’Elbée, il est choisit comme général en chef de l’Armée catholique et royale.

Vainqueur à Thouars et à Bressuire, il échoue à Nantes avec tous les autres chefs (mal organisés).

Le 17 septembre, après de longs affrontements menés contre les troupes du général Kléber, avec Charrette de La Contrie, il remporte la victoire, poussant ainsi les républicains à leur retraite sur Boussay. Décidant alors de fondre sur l’ennemi à Montaigu, Bonchamps sera grièvement blessé lors du combat qui demeure à l’avantage du général Beysser.

Le 22 septembre, avec d’Elbée, il s’attaque à Clisson défendue par le général Canclaux, mais, sans l’arrivée des troupes de Charrette, ils seront mis en totale déroute.

Ensuite, il essuiera deux autres défaites à La Tremblade et Saint-Christophe-du-Ligneron.

Puis, ce fut celle de Cholet, où il sera blessé une seconde fois. Alors porté à Saint-Florent-le-vieil, il y arriva à temps pour obtenir la libération de 5 000 soldats patriotes que ses insurgés s’apprêtaient à exécuter.

Hélas, il devait trouver la mort peu après, le 18 octobre à 23 heures, à La Meilleraie, non loin de Varades.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 12:47

Jacques Cathelineau, dit le Saint d’Anjou

 

Né au Pin-en-Mauge, le 5 janvier 1759 – Mort à Saint-Florent-le-vieil, le 14 juillet 1793.

Chef de l’insurrection vendéenne dont le courage et le charisme indispensable aux rassemblements n’eut d’effet que durant  4 mois.

Simple voiturier de métier, poussé par l’abbé Cantiteau, il rassemble un nombre d’hommes dans le but de chasser les républicains de la Vendée. Ainsi, le 12 mars 1793, avec son ami Jean Perdriau, il marche sur Jallais qu’il enlève le lendemain.

Puis, le 14 mars, c’est Chemillé qui tombe aux mains de ses insurgés.

Rejoint par Stofflet, il remporte aussitôt encore une victoire à Chollet, mais doit se ranger sous le commandement d’Elbée et Bonchamps.

Le 9 avril, il dû évacuer Chemillé avant de joindre les troupes de Stofflet afin de s’emparer une seconde fois de Chollet, puis Chalonnes et Vihiers.

Le 23 avril de la même année, il s’empare de Beaupréau, puis Thouars, le 5 mai.

Ayant repoussé le général Chalbos, le 14 mai à La Châtaigneraie, il subit une défaite à Fontenay-le-comte, deux jours après.

Le 9 juin, il occupe Saumur et Montreuil-Bellay. Au-delà, Il fut proclamé généralissime de l’armée catholique et royale (12 juin 1793).

 

Encore victorieux le 23 juin à Angers, il échoua à la prise Nantes à cause d’une désorganisation des autres chefs vendéens. Pénétrant alors dans la ville sans réelle protection, il fut blessé mortellement le 29 juin avant de trépasser le 14 juillet, après que toutes les troupes insurgées eurent battu en retraite.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 10:39

Charles Augustin de Royrand

 

Né en 1731, et mort le 5 novembre  1793.

 

Lieutenant-colonel en retraite depuis 1785, il fut proclamé général en chef de la première armée vendéenne du centre, puis adjudant dans l’armée catholique et royale de Gigost d’Elbée. Il mourut des suites de ses blessures au combat.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 09:21
Amédée François Paul de Béjarry

Né à Luçon le 25 janvier 1770 - Mort à Nantes le 10 mai 1844.

Aide de camp du chef vendéen Royrand, il fut un temps sous les ordres du chouan, Joseph de Puisaye, avant de passer dans l'armée de Charette de La Contrie, en 1794.

C'est avec son frère, Auguste, qu'il signa la capitulation de la Vendée avec le général Hoche. Au-delà de l'amnistie de 1800, il se retira de toute vie politique.

Il fut fait chevalier de l'ordre de Saint-Louis, dès la Restauration, puis sous-préfet de Beaupréau, avant d'être élu député de la Vendée, où il siègera à l'Assemblée comme ultraroyaliste. 

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 16:49

René François Souchu

 

Originaire de Châtellerault, il fut procureur fiscal de Briord, maire du Port Saint Père, avoué et chef du bureau dans l’administration du district du Pays de Retz.

Il fut l’un des principaux responsables des massacres de Machecoul de mars et avril 1793 (une grande part considérée comme de la vengeance personnelle).

Ayant formé un comité contre-révolutionnaire soi-disant modéré, il le transforma rapidement en « comité royal », alors beaucoup moins clément à l’égard des patriotes.

 

Le 23 avril 1793, les troupes du général Beysser, ayant poursuivit en vain l’armée de Charette de La Contrie, revient à Machecoul, et s’emparent de 15 insurgés dont Souchu qu’il fera décapiter à la hache le 25 avril.

Durant sont procès, il dénonca beaucoup de chefs vendéens.

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 12:35

Pierre Suzanne Lucas de La Championnière

 

Né à Nantes, le 25 septembre 1769 – Mort à Brains, le 22 novembre 1828.

Chevalier de Saint-Louis.

Fils d’un conseiller de la cour des comptes de Bretagne.

Afin de s’opposer à la conscription, le 10 mars 1793, des jeunes gens de Brains et du Pellerin envahirent son château afin qu’il prenne le commandement de leur insurrection.

Combattant tout d’abord aux côtés de La Cathelinière, à partir d’octobre de la même année, il rejoint   l’armée de Charette de La Contrie. Alors placé à la tête de la division du Pays de Retz, il déposa les armes à Machecoul, le 20 février 1796, peu avant la capture de son chef.

En 1797, il épousa Marie Plumard de Rieux, avec laquelle il aura 4 enfants.

En 1798, il rédigea ses mémoires qui ne seront publiées qu’en 1904.

Il obtint l’amnistie ainsi que la restitution de ses biens en 1802.

Ensuite, il occupa le siège de la mairie de Brains durant 25 ans, et sera élu député de la Loire inférieure en 1827.

 

 

Œuvre : « Mémoires de la guerre de Vendée (1793-1796) »

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 09:05

Gabriel Marie Joseph Baudry d’Asson

 

Chevalier de Grésé, seigneur de Brachain.

(1752-1793)

Fils de Joseph Baudry d’Asson, seigneur de Grésé et d’Elisabeth Buor.

Capitaine d’infanterie, il se retire en son château de Brachain avant la révolution et après sa démission.

Vers 1770, il avait épousé Henriette Gaborin.

Après la rixe de Montcoutant, le 19 août 1792, Adrien-Joseph Delouche vint le chercher à Brachain pour le porter à la tête de ses insurgés. Hélas, ils tardèrent trop avant de pousser leur attaque de Bressuire, du fait que cette ville, avisée, eut le temps de constituer des renforts importants. De La  Forêt-sur-Sèvres, le 21 août de la même année, Baudry d’Asson proclame la Vendée militaire. Le 22, il s’empare de Châtillon-sur-Sèvres avec Delouche, et sans coup férir. Ceci, juste avant de se diriger sur Bressuire. Plusieurs assauts seront repoussés du 22 au 24 août, mais les vendéens furent mis en totale déroute, et une centaine d’insurgés furent massacrés par les gardes nationaux venus de Thouars. Lui, il réussit à s’échapper, mais vécu terré dans l’errance durant 6 mois avec son fils (son épouse avait été arrêtée par les républicains).

Au-delà, en mars 1793, il rejoignit les troupes de Verteuil et de Béjarry. Après une intervention musclée à la foire de l’oie, les insurgés remportèrent une victoire à Pont-Charron.

Puis,Baudry d’Asson se dirigea sur Les Herbiers où il fit fusiller quelques patriotes. Ensuite, de La Pommeraye, il livra le combat de Saint-Mesmin dont il fut victorieux.

 

Vers le 25 mars, il opéra sous les ordres de Royrand et de Sapinaud de La Verrie, au sein de l’armée du Centre, participant ainsi à la prise de Fontenay, puis aux assauts manqués des 25 mai et 30 juillet. C'est à la bataille de Luçon qu'il trouva la mort, le 14 août 1793.

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