27 septembre 2006
3
27
/09
/septembre
/2006
11:19
La nuit lorsque les choses n’ont plus de nom,
je marche jusqu’au fin fond de la rue,
et comme un homme au bout de lui-même
je saute le précipice qui sépare les vivants et les morts
Un hymne étrange et supraterrestre monte des
rues comme un homme armé d’un hachoir
se frayant un chemin à travers une attaque de
délirium trémens.
Jean-Luc