18 juillet 2008
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16:43
Louis René
Chabrot
Serions-nous tous hommes identiques, comme le conventionnel l’exige ?
Et, malgré nos volontés de soumission qui l’exigeraient aussi, la différence, cette différence, s’imposerait-elle au plus outrecuidant et au non respect de ce que toutes collectivités ordonnent ?
À savoir ; s’agirait-il de la fin du « moi » - de nos jours, et même avant cela, totalement prohibé ?
Ce « moi » qui n’en demeure pas moins vitalité absolue de tout être humain ; encore ce « moi » qui reste néanmoins l’identité à sauvegarder, et ceci dans toute image transpirant la vie.
Cette vie sans cesse en lutte de se confirmer…
Parlons alors de cette présente image qui, toujours plus, me fait voir un passé : celui qu’elle représente en dehors de nos impositions détestablement temporelles, et, sans cesse, conservant la faculté de me faire rêver ; s’affirmant ici, comme l’une des murailles s’opposant à nos mille avenirs d’absurdité.
Et cette image, n’a rien d’antique !...
Pour elle, mon dernier mot ne serait être encore trop faible …
Laurent Lafargeas, 2007.
E160- ed.16.07.2008.
Chabrot
Serions-nous tous hommes identiques, comme le conventionnel l’exige ?
Et, malgré nos volontés de soumission qui l’exigeraient aussi, la différence, cette différence, s’imposerait-elle au plus outrecuidant et au non respect de ce que toutes collectivités ordonnent ?
À savoir ; s’agirait-il de la fin du « moi » - de nos jours, et même avant cela, totalement prohibé ?
Ce « moi » qui n’en demeure pas moins vitalité absolue de tout être humain ; encore ce « moi » qui reste néanmoins l’identité à sauvegarder, et ceci dans toute image transpirant la vie.
Cette vie sans cesse en lutte de se confirmer…
Parlons alors de cette présente image qui, toujours plus, me fait voir un passé : celui qu’elle représente en dehors de nos impositions détestablement temporelles, et, sans cesse, conservant la faculté de me faire rêver ; s’affirmant ici, comme l’une des murailles s’opposant à nos mille avenirs d’absurdité.
Et cette image, n’a rien d’antique !...
Pour elle, mon dernier mot ne serait être encore trop faible …
Laurent Lafargeas, 2007.
E160- ed.16.07.2008.