24 février 2006
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18:04
Le voyage cache-rêve, est pour vivre la nuit
dans le fond sans fond des images
comme une vitesse-figée
où les mots brûlent à la lisière de notre ombre.
La musique s’ouvre comme un espace et la nuit
tu n’écoutes pas, tu cours
tu es couru par ta limite
cette limite illustrée qui est le mur de ta peau.
Et le mur se perce en jet de musique
où les notes répandent ce qui les trouent
des trous de mort creuse
comme une vitesse-figée
des trous de mort lente et de mort rapide
qui rend la respiration
en instant, éparpillée.
Jean-Luc